Première Partie: Oh ! Tiger Mountain , Inga Liljestrom , Mesparrow
MaMA FESTIVAL
« Cela faisait plus de quatre ans et demi que je n’avais pas revu Alamo Race Track depuis un superbe concert en janvier 2007 à la Maroquinerie. Et puis cette bonne surprise avec ce concert prévu dans le cadre du festival Mama 2011 dans un lieu inédit pour moi, les Trois Baudets. Problème tout de même qui dit festival dit plusieurs groupes et ce soir ils sont en tout et pour tout 4 à se partager l’affiche. A noter d’ailleurs la disparition de Rodeo Massacre pour je ne sais quelle raison au profit de Inga Liljestrom.
J’arrive tranquillement sur place vers 19h, bien évidemment je suis le premier mais la salle est ouverte, enfin pas vraiment la salle de concert proprement dite mais le lieu. On m’indique un bar au premier étage ou je vais passer un petit quart d’ heure bien au chaud car ce soir j’ai l’impression que l’hiver est arrivé sur la capitale, j’ai froid ! Je redescend quelques temps après et c’est sur le coup de 19h45 que les portes de la salle s’ouvrent. On descend un escalier puis c’est un couloir et enfin j’entre par une des deux portes de la salle pour découvrir par le haut ce petit bijou de théâtre. C’est petit (une jauge maxi à 250 personnes je crois) mais douillet et chaleureux. Je descend m’installer au deuxième rang.
Le premier groupe à monter sur scène s’appelle Oh ! Tiger Mountain, ce sont des Français, ils sont deux à la guitare et aux percussions et c’est assez minimaliste. Dire que j’aime serait mentir. Je m’ennuie plutôt. 36 minutes de concert, trop long. Mais il semble qu’il y a quelques admirateurs dans la salle.
Deuxième groupe ou plutôt deuxième artiste à venir sur scène, c’est Inga Liljestrom une Australienne d’origine Finlandaise et installer en France. Elle se produit ce soir en compagnie d’une formation réduite ou l’on trouve une violoniste et une violoncelliste ainsi qu’un percussionniste, les percussions en question étant un caisson sur lequel il est assis. Contre toute attente j’ai trouvé cela pas mal. La voix est un tout petit peu déchiré et j’ai aimé cet espèce d’austérité qui ressortait, ce coté un peu froid et baroque un peu mystérieux qui ressortait. Belle prestation de 45 minutes, la jeune femme ayant été convié « gentiment » à quitter la scène par l’organisation alors qu’elle allait jouer un ultime morceau.
Un peu plus de remue ménage sur scène car on amène maintenant un grand piano qui sera placé coté droit de la scène. L’artiste à se présenter sur scène s’appelle Mesparrow, je croyais d’ailleurs que c’était un groupe et non pas une jeune femme. Elle est habillé de manière dirons nous fantaisiste et bien sur elle est seule sur scène avec son piano et ses effets de boucles. J’ai trouvé cela navrant pour tout dire. Et puis cette reprise d’une vieux standard américain a capella à la fin du concert, horrible. Certains ont aimé comme mon ami Oliver qui est arrivé juste avant le set d’Inga, moi j’ai détesté. 37 minutes.
Le staff technique prépare le matériel sur scène, il commence à se faire tard quand le groupe monte sur scène, il est alors 11h15. Sur scène ils sont six, le chanteur ressemble toujours à John McEnroe. Le set va être presque entièrement consacré au dernier album en date, Unicorn Loves Deer, sorti quelques mois plus tôt sur u petit label hollandais que je m’étais d’ailleurs procuré chez eux. Je reconnais de suite le premier morceau Lindyhop qui figure sur leur dernier album et qui représente un peu tout ce que j’aime chez Alamo Race Track c'est-à-dire ce coté simple et lumineux de la musique, on se dit tout de suite en écoutant «’ca c’est bien ». Et oui c’est bien. Le morceau est entrainant, un mélange de folk rock bien lumineux éclairé par une belle mélodie et par la voix de Ralph Mulder. Le son est parfait dans cette petite salle et je constate avec plaisir que la salle est maintenant remplie. Quand j’écoute Alamo Race Track, j’ai l’impression d’entendre des comptines comme pour Appples, sans doute un effet la encore de la voix de Ralph Mulder. Le groupe déroule son dernier album sans interruption avec quelques pépites comme The Moon R assez touchant. Il faudra attendre la moitié du concert pour enfin entendre un ancien morceau et pas le moindre puisqu’il s’agit de Black Cat John Brown joué ce soir dans une version assez différente de celle en studio. Moins naturelle, le groupe a cherché à donné une nouvelle orientation au morceau avec un tempo un peu différent, peux être plus lent m’a-t-il semblé et un coté moins électrique aussi. Je préfère la version originale même si j’adore toujours la passage ou le batteur joue de la cloche. On repart sur le dernier album, la constante de ces chansons est la poésie qui en émane. Et puis soudainement Ralph annonce le dernier morceau, j’ai vraiment l’impression que le groupe vient juste de commencer son set ! C’est le moment que le groupe choisit pour se réactiver en mode rock & roll avec cette fois ci une superbe version de The Northern Territory. Le groupe quitte la scène, on croit à un rappel mais non, les lumières se rallument, je regarde ma montre assez interloqué, le concert n’aura duré hélas que 47 minutes. La faute au mode « festival » de la soirée.
Avouons le j’ai un peu de frustration car il a fallu que j’attende plusieurs heures avec des artistes qui ne me plaisaient pas vraiment pour à peine plus de trois quart d’heure de concert. J’espère les revoir bientôt pour cette fois ci un concert d’une durée normale, pour rappel il avait joué presque 1h15 en 2007 à la Maroquinerie et cela avec seulement deux albums à leur actif. »
J’arrive tranquillement sur place vers 19h, bien évidemment je suis le premier mais la salle est ouverte, enfin pas vraiment la salle de concert proprement dite mais le lieu. On m’indique un bar au premier étage ou je vais passer un petit quart d’ heure bien au chaud car ce soir j’ai l’impression que l’hiver est arrivé sur la capitale, j’ai froid ! Je redescend quelques temps après et c’est sur le coup de 19h45 que les portes de la salle s’ouvrent. On descend un escalier puis c’est un couloir et enfin j’entre par une des deux portes de la salle pour découvrir par le haut ce petit bijou de théâtre. C’est petit (une jauge maxi à 250 personnes je crois) mais douillet et chaleureux. Je descend m’installer au deuxième rang.
Le premier groupe à monter sur scène s’appelle Oh ! Tiger Mountain, ce sont des Français, ils sont deux à la guitare et aux percussions et c’est assez minimaliste. Dire que j’aime serait mentir. Je m’ennuie plutôt. 36 minutes de concert, trop long. Mais il semble qu’il y a quelques admirateurs dans la salle.
Deuxième groupe ou plutôt deuxième artiste à venir sur scène, c’est Inga Liljestrom une Australienne d’origine Finlandaise et installer en France. Elle se produit ce soir en compagnie d’une formation réduite ou l’on trouve une violoniste et une violoncelliste ainsi qu’un percussionniste, les percussions en question étant un caisson sur lequel il est assis. Contre toute attente j’ai trouvé cela pas mal. La voix est un tout petit peu déchiré et j’ai aimé cet espèce d’austérité qui ressortait, ce coté un peu froid et baroque un peu mystérieux qui ressortait. Belle prestation de 45 minutes, la jeune femme ayant été convié « gentiment » à quitter la scène par l’organisation alors qu’elle allait jouer un ultime morceau.
Un peu plus de remue ménage sur scène car on amène maintenant un grand piano qui sera placé coté droit de la scène. L’artiste à se présenter sur scène s’appelle Mesparrow, je croyais d’ailleurs que c’était un groupe et non pas une jeune femme. Elle est habillé de manière dirons nous fantaisiste et bien sur elle est seule sur scène avec son piano et ses effets de boucles. J’ai trouvé cela navrant pour tout dire. Et puis cette reprise d’une vieux standard américain a capella à la fin du concert, horrible. Certains ont aimé comme mon ami Oliver qui est arrivé juste avant le set d’Inga, moi j’ai détesté. 37 minutes.
Le staff technique prépare le matériel sur scène, il commence à se faire tard quand le groupe monte sur scène, il est alors 11h15. Sur scène ils sont six, le chanteur ressemble toujours à John McEnroe. Le set va être presque entièrement consacré au dernier album en date, Unicorn Loves Deer, sorti quelques mois plus tôt sur u petit label hollandais que je m’étais d’ailleurs procuré chez eux. Je reconnais de suite le premier morceau Lindyhop qui figure sur leur dernier album et qui représente un peu tout ce que j’aime chez Alamo Race Track c'est-à-dire ce coté simple et lumineux de la musique, on se dit tout de suite en écoutant «’ca c’est bien ». Et oui c’est bien. Le morceau est entrainant, un mélange de folk rock bien lumineux éclairé par une belle mélodie et par la voix de Ralph Mulder. Le son est parfait dans cette petite salle et je constate avec plaisir que la salle est maintenant remplie. Quand j’écoute Alamo Race Track, j’ai l’impression d’entendre des comptines comme pour Appples, sans doute un effet la encore de la voix de Ralph Mulder. Le groupe déroule son dernier album sans interruption avec quelques pépites comme The Moon R assez touchant. Il faudra attendre la moitié du concert pour enfin entendre un ancien morceau et pas le moindre puisqu’il s’agit de Black Cat John Brown joué ce soir dans une version assez différente de celle en studio. Moins naturelle, le groupe a cherché à donné une nouvelle orientation au morceau avec un tempo un peu différent, peux être plus lent m’a-t-il semblé et un coté moins électrique aussi. Je préfère la version originale même si j’adore toujours la passage ou le batteur joue de la cloche. On repart sur le dernier album, la constante de ces chansons est la poésie qui en émane. Et puis soudainement Ralph annonce le dernier morceau, j’ai vraiment l’impression que le groupe vient juste de commencer son set ! C’est le moment que le groupe choisit pour se réactiver en mode rock & roll avec cette fois ci une superbe version de The Northern Territory. Le groupe quitte la scène, on croit à un rappel mais non, les lumières se rallument, je regarde ma montre assez interloqué, le concert n’aura duré hélas que 47 minutes. La faute au mode « festival » de la soirée.
Avouons le j’ai un peu de frustration car il a fallu que j’attende plusieurs heures avec des artistes qui ne me plaisaient pas vraiment pour à peine plus de trois quart d’heure de concert. J’espère les revoir bientôt pour cette fois ci un concert d’une durée normale, pour rappel il avait joué presque 1h15 en 2007 à la Maroquinerie et cela avec seulement deux albums à leur actif. »
Alamo Race Track est un groupe de rock indépendant d'Amsterdam avec, depuis 2003, trois albums à leur actif. Il pratique une pop moderne oscillant entre écriture raffinée dans la veine d’XTC et Pavement et l’énergie Rock des Strokes
(http://www.excelsior-recordings.com/alamoracetrack/bcjb/)
(http://www.facebook.com/alamoracetrack)
(http://www.myspace.com/alamoracetrack)
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ALAMO RACE TRACK
Ralph Mulder - Vocals & Guitar
David Corel - Bass
Len Lucieer - Guitar
Guy Bours - Drums
David Corel - Bass
Len Lucieer - Guitar
Guy Bours - Drums
La Setlist du Concert
ALAMO RACE TRACK
Lindyhop (Unicorn Loves Deer - 2011)
Apples (Unicorn Loves Deer - 2011)
The Moon Rides High (Unicorn Loves Deer - 2011)
Records (Unicorn Loves Deer - 2011)
Black Cat John Brown (Black Cat John Brown - 2006)
Shake Off The Leaves (Unicorn Loves Deer - 2011)
Motorman And Owls (Unicorn Loves Deer - 2011)
Hypnotised II (Unicorn Loves Deer - 2011)
The Northern Territory (Black Cat John Brown - 2006)
Apples (Unicorn Loves Deer - 2011)
The Moon Rides High (Unicorn Loves Deer - 2011)
Records (Unicorn Loves Deer - 2011)
Black Cat John Brown (Black Cat John Brown - 2006)
Shake Off The Leaves (Unicorn Loves Deer - 2011)
Motorman And Owls (Unicorn Loves Deer - 2011)
Hypnotised II (Unicorn Loves Deer - 2011)
The Northern Territory (Black Cat John Brown - 2006)