Première Partie :Alamaailman Vasarat
« Voilà un groupe que j’avais raté, il y a deux ans, à la Machine du Moulin Rouge et qui repasse, cette fois… au Glazart !!! Je ne sais pas si je gagne vraiment au change dans le genre salle pourrie. Tant pis, j’ai quand même eu la chance de gagner une invitation pour ce concert (merci Noise magazine et Olivier Drago). Non seulement la salle est pourrie, mais en plus c’est le bordel complet pour se garer aux alentours à cause, une fois de plus, des travaux du tramway qui n’en finissent pas. Je suis venu il y a deux mois au même endroit, rien n’a avancé !!! Putain !
Bon ok, je suis de mauvais poil parce qu’en plus les horaires ne sont pas respectés. 20 h ? l’ouverture, mon œil oui !! 20 h 30 plutôt. Sans compter un service d’ordre qui se décide à mettre les barrières sur le coup de 20 h. Bref je n’aime pas le Glazart vous l’aurez compris. Une fois mon invitation en poche, hop j’entre dans la salle, le plafond est super bas, c’est mal éclairé et on crève de chaud… Et je ne vous ai pas encore parlé de la scène.
En attendant, je suis la pour Chrome Hoof, un groupe de ouf justement, difficilement classable, on parlera simplement de « rock expérimental » ce qui reflète bien la réalité. Deux têtes connues dans le public, Michaela notre photographe Italienne préférée et Yves que j’aperçois de l’autre côté de la scène. Il faut tout d’abord se farcir la première partie, un groupe au nom imprononçable qui se nomme Alamaailman Vasarat, je pensais dans un premier temps que ses membres provenaient de l’est, je fais fausse route le groupe est en fait originaire de Finlande. Ils sont six sur scène avec deux violoncelles, 1 clavier, 1 batterie et enfin les deux trublions du groupe c'est-à-dire les deux musiciens officiant sur le devant de la scène, tous les deux jouant des cuivres, trombone, tuba et clarinette il me semble. Bon le groupe a un côté joyeux et festif qui n’est pas sans déplaire, musicalement on lorgne carrément vers la musique des Balkans avec un côté free jazz très prononcé. Original ? Pas vraiment, car je trouve que çà fait « déjà vu ». À la longue on se lasse, pour ma part cela tourne vite en rond et ce n’est pas avec leur dernière chanson nommée The Factory qu’ils vont jouer en mode punk que cela changera le problème. Le public lui a tout de même apprécié. 63 minutes tout de même, c’est bien long pour une première partie.
Difficile de qualifier la musique de Chrome Hoof. Expérimental ? Surement, car cela part un peu dans tous les sens. L’étroite scène du Glazart est encombrée de matériel, car sur scène le groupe se présente ce soir à huit. En partant de la droite, on trouve deux jeunes femmes aux cuivres et synthés, un batteur en arrière-plan qui va se révéler diablement efficace, au premier plan, plein centre, Leo Smee le bassiste et membre fondateur du groupe. À ses côtés une chanteuse black et enfin sur la gauche, c'est-à-dire de mon côté, au fond de la scène un guitariste lui aussi terriblement efficace, devant lui un organiste et enfin au premier plan juste devant moi une belle jeune femme au violon électrique. Je dis beau, mais vu l’éclairage pourave de la salle, il me sera pratiquement impossible de faire des photos d’elle. Et pourtant malgré les reproches que se suis en droit de faire (si si), le son va se révéler plutôt bon et surtout assez fort. Lorsque les musiciens montent sur scène, ils sont tous vêtus d’une sorte de combinaison couleur aluminium avec la capuche rabattue, on est vite pris dans une espèce de cacophonie étrange que l’on n’arrive guère à cataloguer dans un genre musical, c’est à la fois expérimental dans le sens qu’il n’est pas courant de voir tous ces instruments mélangés surtout pour jouer autre chose que de la pop atmosphérique ou de l’indie folk. Car Chrome Hoof évolue dans un univers presque violent, d’ailleurs deux morceaux vers la fin du set seront carrément à classer dans le métal (doom ?). La fusion est surprenante, les fulgurances de la guitare sont surprenantes par sa puissance (même si je n’apercevrai pas le guitariste de tout le concert caché par les autres musiciens). La jolie violoniste apporte une touche de légèreté à l’ensemble tout en se mettant souvent au diapason de l’orgue et de la guitare produisant ainsi un mur électrique assez fulgurant. Mais l’évidence me vient vite à l’esprit, on retrouve chez eux un peu ce que faisait Magma à l’époque, enfin c’est du moins ce que j’ai ressenti avec cette impression d’entendre une musique libre de toute attache, du free rock en quelque sorte. Le chant passe au second plan, d’ailleurs il ne m’a pas semblé que la chanteuse ait une super voix et j’ai trouvé son rôle mineur dans la formation, elle s’éclipsera d’ailleurs une ou deux fois durant le set du groupe. Je parlais de métal un peu plus haut, en effet c’est à partir des deux tiers du concert que Leo Smee le bassiste et fondateur du groupe affublé d’un masque de guerrier va se projeter sur le devant de la scène pour nous balancer 1 morceau avec l’option métal enclenchée (Death Is Certain) ! Violent ! Et puis en guise de conclusion à un concert un peu trop court hélas, c’est avec le magnifique Tonyte que la soirée va se conclure. Pas de rappel hélas et à peine plus d’une heure de concert.
J’espère simplement maintenant les revoir dans de meilleures conditions pour pouvoir les apprécier de meilleure manière. Soirée sympa tout de même.»
Bon ok, je suis de mauvais poil parce qu’en plus les horaires ne sont pas respectés. 20 h ? l’ouverture, mon œil oui !! 20 h 30 plutôt. Sans compter un service d’ordre qui se décide à mettre les barrières sur le coup de 20 h. Bref je n’aime pas le Glazart vous l’aurez compris. Une fois mon invitation en poche, hop j’entre dans la salle, le plafond est super bas, c’est mal éclairé et on crève de chaud… Et je ne vous ai pas encore parlé de la scène.
En attendant, je suis la pour Chrome Hoof, un groupe de ouf justement, difficilement classable, on parlera simplement de « rock expérimental » ce qui reflète bien la réalité. Deux têtes connues dans le public, Michaela notre photographe Italienne préférée et Yves que j’aperçois de l’autre côté de la scène. Il faut tout d’abord se farcir la première partie, un groupe au nom imprononçable qui se nomme Alamaailman Vasarat, je pensais dans un premier temps que ses membres provenaient de l’est, je fais fausse route le groupe est en fait originaire de Finlande. Ils sont six sur scène avec deux violoncelles, 1 clavier, 1 batterie et enfin les deux trublions du groupe c'est-à-dire les deux musiciens officiant sur le devant de la scène, tous les deux jouant des cuivres, trombone, tuba et clarinette il me semble. Bon le groupe a un côté joyeux et festif qui n’est pas sans déplaire, musicalement on lorgne carrément vers la musique des Balkans avec un côté free jazz très prononcé. Original ? Pas vraiment, car je trouve que çà fait « déjà vu ». À la longue on se lasse, pour ma part cela tourne vite en rond et ce n’est pas avec leur dernière chanson nommée The Factory qu’ils vont jouer en mode punk que cela changera le problème. Le public lui a tout de même apprécié. 63 minutes tout de même, c’est bien long pour une première partie.
Difficile de qualifier la musique de Chrome Hoof. Expérimental ? Surement, car cela part un peu dans tous les sens. L’étroite scène du Glazart est encombrée de matériel, car sur scène le groupe se présente ce soir à huit. En partant de la droite, on trouve deux jeunes femmes aux cuivres et synthés, un batteur en arrière-plan qui va se révéler diablement efficace, au premier plan, plein centre, Leo Smee le bassiste et membre fondateur du groupe. À ses côtés une chanteuse black et enfin sur la gauche, c'est-à-dire de mon côté, au fond de la scène un guitariste lui aussi terriblement efficace, devant lui un organiste et enfin au premier plan juste devant moi une belle jeune femme au violon électrique. Je dis beau, mais vu l’éclairage pourave de la salle, il me sera pratiquement impossible de faire des photos d’elle. Et pourtant malgré les reproches que se suis en droit de faire (si si), le son va se révéler plutôt bon et surtout assez fort. Lorsque les musiciens montent sur scène, ils sont tous vêtus d’une sorte de combinaison couleur aluminium avec la capuche rabattue, on est vite pris dans une espèce de cacophonie étrange que l’on n’arrive guère à cataloguer dans un genre musical, c’est à la fois expérimental dans le sens qu’il n’est pas courant de voir tous ces instruments mélangés surtout pour jouer autre chose que de la pop atmosphérique ou de l’indie folk. Car Chrome Hoof évolue dans un univers presque violent, d’ailleurs deux morceaux vers la fin du set seront carrément à classer dans le métal (doom ?). La fusion est surprenante, les fulgurances de la guitare sont surprenantes par sa puissance (même si je n’apercevrai pas le guitariste de tout le concert caché par les autres musiciens). La jolie violoniste apporte une touche de légèreté à l’ensemble tout en se mettant souvent au diapason de l’orgue et de la guitare produisant ainsi un mur électrique assez fulgurant. Mais l’évidence me vient vite à l’esprit, on retrouve chez eux un peu ce que faisait Magma à l’époque, enfin c’est du moins ce que j’ai ressenti avec cette impression d’entendre une musique libre de toute attache, du free rock en quelque sorte. Le chant passe au second plan, d’ailleurs il ne m’a pas semblé que la chanteuse ait une super voix et j’ai trouvé son rôle mineur dans la formation, elle s’éclipsera d’ailleurs une ou deux fois durant le set du groupe. Je parlais de métal un peu plus haut, en effet c’est à partir des deux tiers du concert que Leo Smee le bassiste et fondateur du groupe affublé d’un masque de guerrier va se projeter sur le devant de la scène pour nous balancer 1 morceau avec l’option métal enclenchée (Death Is Certain) ! Violent ! Et puis en guise de conclusion à un concert un peu trop court hélas, c’est avec le magnifique Tonyte que la soirée va se conclure. Pas de rappel hélas et à peine plus d’une heure de concert.
J’espère simplement maintenant les revoir dans de meilleures conditions pour pouvoir les apprécier de meilleure manière. Soirée sympa tout de même.»
(http://www.myspace.com/alamaailmanvasarat)
(http://www.vasarat.com/)
(http://www.facebook.com/alamaailmanvasarat)
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Chrome Hoof est un groupe/orchestre expérimental londonien formé en 2000 par le bassiste de Cathedral, Leo Smee, et son frère Milo Smee. À l'origine un duo pratiquant une musique essentiellement électronique, le groupe s'est considérablement élargi en intégrant de nouveaux membres (une dizaine actuellement) et donc de nouveaux instruments tels que batterie, saxophone, violon électrique, claviers, guitare, basse ou basson. La musique du groupe combine des éléments venus aussi bien du metal que de l'electro ou du disco, avec une touche de psychédélisme.
(http://www.myspace.com/chromehoof)
(http://www.myspace.com/chromehoof)
(http://www.facebook.com/chromehoof)
(http://www.myspace.com/chromehoof)
(http://www.facebook.com/chromehoof)
Albums
2005 - Chrome Hoof
2007 - Pre-Emptive False Rapture
2010 - Crush Depth
EP
2006 - Beyond Zade
2005 - Chrome Hoof
2007 - Pre-Emptive False Rapture
2010 - Crush Depth
EP
2006 - Beyond Zade
CHROME HOOF
Leo Smee - bass/vocals/synth'/percussion
Milo Smee - drums/synth'/percussion
Emmett Elvin - keyboards/synth'/sampler
Andy Gustard - guitar/percussion[2]
Kavus Torabi - guitar
Emma Sullivan - trumpet/vocals/keyboard/percussion
Chloe Herington - bassoon/saxophone/percussion
Sarah Anderson - violin/viola/percussion/backing-vocals[3]
Lola Olafisoye - vocals
Milo Smee - drums/synth'/percussion
Emmett Elvin - keyboards/synth'/sampler
Andy Gustard - guitar/percussion[2]
Kavus Torabi - guitar
Emma Sullivan - trumpet/vocals/keyboard/percussion
Chloe Herington - bassoon/saxophone/percussion
Sarah Anderson - violin/viola/percussion/backing-vocals[3]
Lola Olafisoye - vocals
La Setlist du Concert
CHROME HOOF
Intro
One Day (Crush Depth - 2010)
Crystalline (Crush Depth - 2010)
Pronoid (Single - Pre-Emptive False Rapture
- 2007)
Sea Hornet (Crush Depth - 2010)
Death Star (New Song)
Towards Zero (Crush Depth - 2010)
Star Dust (New Song)
Crimson Drone (New Song)
Interlude
Death is Certain (Pre-Emptive False Rapture
- 2007)
Tonyte (B Side Single Pronoid - Pre-Emptive False Rapture
- 2007)
One Day (Crush Depth - 2010)
Crystalline (Crush Depth - 2010)
Pronoid (Single - Pre-Emptive False Rapture
- 2007)
Sea Hornet (Crush Depth - 2010)
Death Star (New Song)
Towards Zero (Crush Depth - 2010)
Star Dust (New Song)
Crimson Drone (New Song)
Interlude
Death is Certain (Pre-Emptive False Rapture
- 2007)
Tonyte (B Side Single Pronoid - Pre-Emptive False Rapture
- 2007)