« Il y a bien longtemps que je n’avais pas écouté The Kooks, depuis 2008 certainement, date de parution de Konk. Il faut dire que je n’ai jamais été un grand fan du groupe, je leur ai toujours préféré des groupes comme Kaiser Chiefs ou bien Kasabian. Pourtant je les avais bien aimés il y a maintenant 4 ans à l’Olympia, un peu moins l’année dernière à Rock En Seine. En début d’année, j’ai complètement fait l’impasse sur leur concert à La Cigale et j’avoue que s’ils n’étaient pas passés à la Flèche d’Or je ne serais pas allé les voir au Casino de Paris.
Concert semi promo donc avec très peu de places en vente (350 en tout et pour tout) et certainement beaucoup d’invitations. Mais le fait de voir un groupe dans une petite salle m’attire toujours. Je n’ai pas l’intention de squatter le premier rang ce soir surtout connaissant le public très jeune des Kooks. Mais alors que j’arrive vers 19 h sur place j’ai la surprise de voir que les portes sont déjà ouvertes et pour la première fois, je vais subir un double contrôle des billets, avec carte d’identité à l’appui, ceci étant censé contrecarrer le marché noir. À l’intérieur une petite trentaine de personnes en majorité des jeunes femmes déjà agglutinées sur ce qui fait office de crash barrière. Ma décision est prise depuis longtemps, ce soir concert cool en retrait loin de l’hystérie des fans. Comme il y a peu de monde, j’arrive même à faire un petit somme dans la petite salle vitrée donnant sur les rails de la petite couronne. Bonne nouvelle, pas de première partie, il faut juste attendre 21 heures que le concert débute.
C’est en vérité vers 21h05 que les Kooks montent sur scène, moi je me trouve plein centre, mais à distance respectable entre les deux piliers qui se trouvent à l’arrière (ceux qui connaissent la salle situeront). Beaucoup de monde bien sûr, le jeune public est devant tandis que derrière on trouve des personnes un peu plus âgées. La première surprise vient du son, mon ami Vincent m’avait dit qu’il était mauvais à ce niveau et bien ce soir il fut presque parfait, peut être un tout petit peu faible, mais parfaitement clair, chaque instrument et surtout la voix de Luke Pritchard étant parfaitement audible. Ma première impression est que les Kooks ont muri. Pas d’exubérance sur scène, je trouve en face de moi un groupe qui a su évoluer et qui m’a presque impressionné par cette espèce d’assurance qu’ils ont maintenant, cette maitrise devrais-je plutôt dire. Le concert de ce soir est une sorte d’avant-première avant la sortie de leur nouvel album. Le set sera un mix d’anciens et de nouveaux morceaux avec tout d’abord un démarrage en douceur avec Always Where I Need To Be enchainé à See The World. C’est à ce moment que je réalise qu’ils avaient produit de belles chansons mélancoliques pas forcément réservées à un public de minettes. Cette étiquette qui leur colle à la peau n’est certainement pas un atout pour eux, c’est dommage, car il a fallu attendre ce soir pour que je me rende compte aussi que ce groupe était bien meilleur que ce que je pensais. Et c’est surtout avec les nouveaux morceaux que je vais être séduit et convaincu qu’ils valent mieux que l’étiquette un peu légère qu’on leur colle. J’ai en mémoire le second morceau du rappel qui s’appelle Saboteur avec Like Pritchard aux claviers, une composition assez complexe qui peut effectivement faire penser aux Beatles. Un autre nouveau morceau joué plus tôt dans le set m’avait d’ailleurs déjà bien plu. À L’aube du quatrième album, les Kooks se placent tranquillement dans le peloton de tête alors que certains semblent s’égarer (Razorlight et Kaiser Chiefs). Et puis j’avoue être content d’écouter dans de bonnes conditions leurs anciens tubes comme Ooh La, Seaside ou encore Naïve. J’avais presque oublié toutes ces belles compositions. Il y a eu un petit miracle ce soir, je n’ai entendu personne en train de discuter autour de moi pendant toute la durée du set ! Et ça c’est un miracle à la Flèche d’or surtout qu’il devait y avoir pas mal d’invités. On les a remarqués d'ailleurs, car sitôt le morceau Naïve achevé et alors que le groupe quittait la scène, on a vu un certain nombre d’eux aussitôt quitter la salle...
Le rappel va intervenir après seulement 48 minutes de spectacle, trois morceaux avec le très beau Sofa Song qui va venir conclure ce set d’une heure précise. Le groupe semble content de sa prestation, le public aussi à en juger par les mines ravies et les visages trempés de sueur des jeunes filles des premiers rangs. La Setlist est hors de ma portée mais je la photographie tout de même. J’avoue que je ne m’attendais pas à apprécier autant ce concert et du coup mon estime pour ce groupe remonte en flèche. Alors oui j’irai acheter leur nouvel album !!! Ah oui chose importante il est 22h15 à peine et je suis déjà sorti de la Flèche d’Or, plutôt rare !! »
Concert semi promo donc avec très peu de places en vente (350 en tout et pour tout) et certainement beaucoup d’invitations. Mais le fait de voir un groupe dans une petite salle m’attire toujours. Je n’ai pas l’intention de squatter le premier rang ce soir surtout connaissant le public très jeune des Kooks. Mais alors que j’arrive vers 19 h sur place j’ai la surprise de voir que les portes sont déjà ouvertes et pour la première fois, je vais subir un double contrôle des billets, avec carte d’identité à l’appui, ceci étant censé contrecarrer le marché noir. À l’intérieur une petite trentaine de personnes en majorité des jeunes femmes déjà agglutinées sur ce qui fait office de crash barrière. Ma décision est prise depuis longtemps, ce soir concert cool en retrait loin de l’hystérie des fans. Comme il y a peu de monde, j’arrive même à faire un petit somme dans la petite salle vitrée donnant sur les rails de la petite couronne. Bonne nouvelle, pas de première partie, il faut juste attendre 21 heures que le concert débute.
C’est en vérité vers 21h05 que les Kooks montent sur scène, moi je me trouve plein centre, mais à distance respectable entre les deux piliers qui se trouvent à l’arrière (ceux qui connaissent la salle situeront). Beaucoup de monde bien sûr, le jeune public est devant tandis que derrière on trouve des personnes un peu plus âgées. La première surprise vient du son, mon ami Vincent m’avait dit qu’il était mauvais à ce niveau et bien ce soir il fut presque parfait, peut être un tout petit peu faible, mais parfaitement clair, chaque instrument et surtout la voix de Luke Pritchard étant parfaitement audible. Ma première impression est que les Kooks ont muri. Pas d’exubérance sur scène, je trouve en face de moi un groupe qui a su évoluer et qui m’a presque impressionné par cette espèce d’assurance qu’ils ont maintenant, cette maitrise devrais-je plutôt dire. Le concert de ce soir est une sorte d’avant-première avant la sortie de leur nouvel album. Le set sera un mix d’anciens et de nouveaux morceaux avec tout d’abord un démarrage en douceur avec Always Where I Need To Be enchainé à See The World. C’est à ce moment que je réalise qu’ils avaient produit de belles chansons mélancoliques pas forcément réservées à un public de minettes. Cette étiquette qui leur colle à la peau n’est certainement pas un atout pour eux, c’est dommage, car il a fallu attendre ce soir pour que je me rende compte aussi que ce groupe était bien meilleur que ce que je pensais. Et c’est surtout avec les nouveaux morceaux que je vais être séduit et convaincu qu’ils valent mieux que l’étiquette un peu légère qu’on leur colle. J’ai en mémoire le second morceau du rappel qui s’appelle Saboteur avec Like Pritchard aux claviers, une composition assez complexe qui peut effectivement faire penser aux Beatles. Un autre nouveau morceau joué plus tôt dans le set m’avait d’ailleurs déjà bien plu. À L’aube du quatrième album, les Kooks se placent tranquillement dans le peloton de tête alors que certains semblent s’égarer (Razorlight et Kaiser Chiefs). Et puis j’avoue être content d’écouter dans de bonnes conditions leurs anciens tubes comme Ooh La, Seaside ou encore Naïve. J’avais presque oublié toutes ces belles compositions. Il y a eu un petit miracle ce soir, je n’ai entendu personne en train de discuter autour de moi pendant toute la durée du set ! Et ça c’est un miracle à la Flèche d’or surtout qu’il devait y avoir pas mal d’invités. On les a remarqués d'ailleurs, car sitôt le morceau Naïve achevé et alors que le groupe quittait la scène, on a vu un certain nombre d’eux aussitôt quitter la salle...
Le rappel va intervenir après seulement 48 minutes de spectacle, trois morceaux avec le très beau Sofa Song qui va venir conclure ce set d’une heure précise. Le groupe semble content de sa prestation, le public aussi à en juger par les mines ravies et les visages trempés de sueur des jeunes filles des premiers rangs. La Setlist est hors de ma portée mais je la photographie tout de même. J’avoue que je ne m’attendais pas à apprécier autant ce concert et du coup mon estime pour ce groupe remonte en flèche. Alors oui j’irai acheter leur nouvel album !!! Ah oui chose importante il est 22h15 à peine et je suis déjà sorti de la Flèche d’Or, plutôt rare !! »
The Kooks est un groupe d'indie pop anglais formé en à Brighton en 2001. Leur premier album s'est vendu à plus d'un million d'exemplaires au Royaume-Uni. Ces 4 jeunes anglais se sont rencontrés dans une école de musique. Leur musique étant principalement influencé du mouvement British Invasion en 1960 et du post-punk du nouveau millénaire, The Kooks se définit lui même comme un groupe "pop". Avec des chansons décrites comme "accrocheuses comme l'enfer", The Kooks a experimenté un bon nombre de genres différents, tels que le Rock, la Britpop, la Pop, le Reggae et le Ska.
2006 - Inside In/Inside Out
2008 - Konk
2008 - Rak (Edition Limited Konk)
2011 - Junk Of The Heart
Luke Pritchard – lead vocals, rhythm guitar, piano (2004–present)
Hugh Harris – lead guitar, keyboard on "Shine On", backing vocals (2004–present)
Peter Denton – bass, backing vocals (2008–present)
Paul Garred – drums (2004-2009) (2011–present)
Hugh Harris – lead guitar, keyboard on "Shine On", backing vocals (2004–present)
Peter Denton – bass, backing vocals (2008–present)
Paul Garred – drums (2004-2009) (2011–present)
La Setlist du Concert
THE KOOKS
Always Where I Need To Be (Konk - 2008)
See The World (Inside In/Inside Out - 2006)
Is It Me? (Junk Of The Heart - 2011)
Ooh La (Single - Inside In/Inside Out - 2006)
Eskimo Kiss (Junk Of The Heart - 2011)
Sway (Single - Konk - 2008)
How'd You Like That (Junk Of The Heart - 2011)
She Moves In Her Own Way (Single - Inside In/Inside Out - 2006)
Junk Of The Heart (Happy) (Single - Junk Of The Heart - 2011)
Shine On (Single - Konk - 2008)
Do You Wanna (Single - Konk - 2008)
Naïve (Single - Inside In/Inside Out - 2006)
Encores
Seaside (Inside In/Inside Out - 2006)
Saboteur (Single - 2011)
Sofa Song (Inside In/Inside Out - 2006)
See The World (Inside In/Inside Out - 2006)
Is It Me? (Junk Of The Heart - 2011)
Ooh La (Single - Inside In/Inside Out - 2006)
Eskimo Kiss (Junk Of The Heart - 2011)
Sway (Single - Konk - 2008)
How'd You Like That (Junk Of The Heart - 2011)
She Moves In Her Own Way (Single - Inside In/Inside Out - 2006)
Junk Of The Heart (Happy) (Single - Junk Of The Heart - 2011)
Shine On (Single - Konk - 2008)
Do You Wanna (Single - Konk - 2008)
Naïve (Single - Inside In/Inside Out - 2006)
Encores
Seaside (Inside In/Inside Out - 2006)
Saboteur (Single - 2011)
Sofa Song (Inside In/Inside Out - 2006)
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