« J’avais longtemps hésité à prendre ma place, car honnêtement j’avais déjà vu The Drums deux fois par le passé, la première pour un concert vraiment pas folichon à la Maroquinerie puis quelques mois plus tard à la Cigale pour une bonne prestation cette fois. Leur premier album est sympa, mais bon cela reste mineur dans les sorties discographiques de 2010. Alors j’ai tout de même craqué, histoire déjà de les voir dans une petite salle et aussi la curiosité de voir la direction prise par le groupe après une année 2010 où ils étaient sur tous les fronts. Mon ami Éric qui venait de les voir à Madrid m’avait prévenu «tu vas voir, cela a changé». À la lecture de son compte rendu, j’ai vite compris effectivement qu’il y avait du changement avec en point d’orgue une chose surprenante si tôt dans leur jeune carrière : ils ne joueraient plus Let's Go Surfing…. À vérifier ce soir.
Personne ou presque lorsque j’arrive aux abords de la salle, sur le coup des 18 h 30, surprenant pour un concert affichant sold out surtout lorsque l’on sait que le public devrait être féminin dans sa majeure partie. Ouverture des portes 19 h 30. Je file avec les potes au premier rang un peu sur la droite. On prend le temps de boire une bière et à vingt heures pile Veronica Falls entre sur scène.
VF, c’est tout d’abord un groupe mixte : deux filles et deux garçons, avec en tête, la charmante Roxanne Clifford qui outre la guitare fait aussi office de chanteuse. Elle est tout simplement délicieuse ce soir dans sa petite robe rose clair, se trouve plein centre, l’alter ego de Roxanne, James Hoare qui lui aussi est à la guitare et aux vocaux, pas de petite robe pour lui, mais une coupe de cheveux me rappelant celle d’un membre du groupe Inspiral Carpets. On complète le groupe avec Marion Herbain la discrète et fine bassiste et Patrick Doyle à la batterie. Très vite une de leurs influences me vient à l’esprit avec ces deux guitares qui déchargent leur venin à tout berzingue, en l’occurrence, je fais référence à Wedding Présent. Par rapport à leur concert de la Flèche d’Or je trouve le groupe bien plus en place et surtout bénéficiant d’un son digne de ce nom. On tombe vite sous le charme de leur musique pop rock aigrelette sans concession qui nous replonge fin des eighties. Cela va à cent à l’heure et j’aime ça. Après chaque morceau, Roxanne remercie le public avec un petit sourire en coin. Influences, disais je, on n’échappe pas non plus à celle des Pixies non sans oublier par exemple les Primitives et leur pop insouciante. Départ en fanfare donc avec Right Side, le groupe enchaine ensuite avec Stephen et son intro à la Pixies mais le groupe apporte en plus sa légèreté et ses voix aériennes. Veronica Falls c’est typiquement le genre de groupe que j’aime, certains de mes amis me feront remarquer qu’il y a des femmes et je leur répondrais ; oui c’est vrai ; car elles apportent à mon avis une touche de fraicheur, de charme et aussi de simplicité que j’apprécie beaucoup. Et puis j’aime les voix féminines ! C’est ensuite le superbe Beachy Head aux parfums garage et un peu gothique, j’adore tout simplement. Je parlais du côté insouciant que l’on ressent en les écoutant, cela me fait penser aussi aux Vaselines par moment. Pour l’instant, le groupe n’a sorti qu’un EP de 5 démos que l’on trouve uniquement à leur concert ce qui veut dire que ce soir de nombreux morceaux feront partie de leur album qui sortira en octobre. Et franchement, je m’en délecte d’avance. La guitare parait bien grosse entre les mains de Roxanne, mais elle en fait bel usage à l’instar de James Hoare qui pendant une grande partie du set sera de profil face à elle comme pour accentuer cet effet de dualité que l’on retrouve pendant tout le concert. Leur set est tout simplement une belle réussite qui n’aura malheureusement duré que 30 minutes, mais il est fort à parier que le groupe a trouvé ce soir de nouveaux fans.
Il est 20 h 30, c’est clair que ce soir on ne fera pas de vieux os au Nouveau Casino à moins que The Drums ne décide de faire un concert marathon !!!
Mais en vérité il est tout juste 21 h lorsque les lumières s’éteignent et que les membres du groupe arrivent un par un sur scène. J’avoue que je suis un peu largué, car pas mal de choses ont changé en quelques mois, exit le guitariste un peu fou qui évoluait sur la gauche et qui comblait les faiblesses musicales du groupe par sa présence scénique. On trouve maintenant sur la gauche de la scène un nouveau guitariste Myles Matheny ex Violens qui parfois prend la basse et un peu en retrait un clavier. C’est enfin Jonathan Pierce qui fait son apparition sous les applaudissements du public. Il affiche toujours une apparence assez ambigüe, mais surtout ce soir il semble, comment pourrait-on dire ? Il semble étrangement détendu et un peu à l’ouest. Alcool ? Ou alors autre chose ??? Peu importe le garçon, semble en forme. Je me rends tout de suite à l’évidence, le groupe a fortement évolué que ce soit au niveau musical bien sur, mais aussi techniquement parlant. Car avouons le c’était un des points faibles du groupe ce manque de rigueur musicale beaucoup trop importante même si au final ce que l’on attendait d’eux, c’était du fun. Et puis force est de constater que le son est très bon même si du premier rang la voix est un peu lointaine ce qui par moment et surtout au début me semble-t-il n’est pas plus mal, car Jonathan Pierce n’a pas toujours un chant dirons nous…parfait. Ce début de concert donc me surprend par son sérieux d’une part et par la qualité des compositions interprétées et cela à partir du second morceau (My Best Friend) dans une version largement supérieure à celle du studio. Inévitablement on pense aux Smiths pour les guitares et à Morrissey concernant l’attitude scénique de Jonathan qui ce soir ne sera pas avare de compliments envers Paris, sincère ou pas c’est toujours difficile de se prononcer. Ce qui est curieux c’est que même les morceaux du premier album sont pratiquement méconnaissables, moins minimalistes, plus soniques et surtout beaucoup plus crédibles en live. Second extrait du nouvel album PORTAMENTO avec If He Likes It Let Them Do It où la guitare prend le dessus avec un son me rappelant un peu The Mission. C’est assez rare au Nouveau Casino, mais ce soir la scène dans toute sa largeur est occupée par le matériel du groupe avec en arrière-plan un grand logo The Drums. Et puis de chaque côté de la batterie, deux panneaux lumineux avec pour l’un PORTA et sur l’autre MENTO, bon j’ai cherché pendant un bon bout de temps ce que cela voulait dire. Portemanteau ?? Ce n’est qu’au merchandising plus tard que j’ai enfin compris…
Le meilleur moment du concert, c’est peut-être avec Money, un nouveau morceau, que je l’ai vécu ce soir. La ligne de basse est omniprésente et hypnotique, tout gravite autour d’elle et on revient sans cesse sur ce rythme rapide et primaire, excellent tout simplement. Peu à peu on s’éloigne de la touche Smiths pour revenir dans leur jardin traditionnel c'est-à-dire un côté dance plus perceptible, nouveaux et anciens morceaux se complètent admirablement. Avec Days on retrouve la ligne de basse dont je parlais pour Money, est-ce un des apanages du nouvel album ? Et toujours aussi ce côté un peu Vampire Week End que l’on retrouve aussi assez souvent. Book Of Revelation voila un morceau qui m’a surpris, j’ai cru entendre les Strokes que ce soit dans les guitares ou pour la voix un peu nasillarde à la manière d’un Julian Casablanca, pas désagréable. Avec Down By The Water c’est encore une autre facette des Drums, un retour vers les fifties avec une guitare ou la réverb est reine puis pour finir How It Ended (cela tombe bien c’est le dernier morceau) du The Drums traditionnel avec toutefois un final sonique assez impressionnant.
C’est bien cela ce côté puissant et sans concession qui donne aux Drums une nouvelle dimension, le traitement infligé à chacune de leur chanson est impressionnant en live et puis il y a les musiciens, je ne me rappelle pas avoir vu le guitariste en face de moi aussi efficace lors de leurs précédentes tournées. Je m’en doutais un peu vu ce qu’Éric m’avait dit, ils ne vont pas jouer Let’s Go Surfing. Difficile de comprendre pourquoi même si l’on se doute qu’ils l’ont joué et rejoué. Mais pour un groupe ayant si peu d’années d’existence mettre déjà au rencard leur morceau phare cela parait bizarre. En tout cas le public parisien ne leur en veut pas du tout, on n’entendra d’ailleurs pas de plaintes dans le public. Le concert se terminera avec deux anciens morceaux dans une ambiance festive et la promesse de revenir en novembre à Paris (les places sont d’ailleurs déjà en vente).
Que dire sinon que j’ai plutôt été agréablement surpris par la nouvelle orientation du groupe en live, bien sûr on regrette un petit peu les facéties d’Adam Kessler l’ancien guitariste qui apportait une touche plus colorée à l’ensemble. L’avenir dira si le groupe a gagné son pari et surtout a réussi à garder son public voire l’accroitre ou au contraire échouer dans leur nouvelle tentative de séduction. J’arrive avec un peu de mal à avoir une des rares set lists puis je file à la mezzanine pour aller jeter un coup d’œil sur le merchandising. Avec un ami on entame une courte, mais sympa discussion avec le batteur de Veronica Falls manifestement content de l’accueil que Paris a réservé au groupe. Il nous confie qu’ils devraient être de retour au mois de novembre cette fois au Point FMR, prions pour que je n’aie pas encore pris de places pour une autre soirée !! J’achète un tee-shirt du groupe et je me laisse ensuite tenter par le dernier cd des Drums. Il est à peine 22 h 20 lorsque je quitte le Nouveau Casino, pour vous je ne sais pas, mais parfois, moi, je me dis que la vie est belle !!! »
Personne ou presque lorsque j’arrive aux abords de la salle, sur le coup des 18 h 30, surprenant pour un concert affichant sold out surtout lorsque l’on sait que le public devrait être féminin dans sa majeure partie. Ouverture des portes 19 h 30. Je file avec les potes au premier rang un peu sur la droite. On prend le temps de boire une bière et à vingt heures pile Veronica Falls entre sur scène.
VF, c’est tout d’abord un groupe mixte : deux filles et deux garçons, avec en tête, la charmante Roxanne Clifford qui outre la guitare fait aussi office de chanteuse. Elle est tout simplement délicieuse ce soir dans sa petite robe rose clair, se trouve plein centre, l’alter ego de Roxanne, James Hoare qui lui aussi est à la guitare et aux vocaux, pas de petite robe pour lui, mais une coupe de cheveux me rappelant celle d’un membre du groupe Inspiral Carpets. On complète le groupe avec Marion Herbain la discrète et fine bassiste et Patrick Doyle à la batterie. Très vite une de leurs influences me vient à l’esprit avec ces deux guitares qui déchargent leur venin à tout berzingue, en l’occurrence, je fais référence à Wedding Présent. Par rapport à leur concert de la Flèche d’Or je trouve le groupe bien plus en place et surtout bénéficiant d’un son digne de ce nom. On tombe vite sous le charme de leur musique pop rock aigrelette sans concession qui nous replonge fin des eighties. Cela va à cent à l’heure et j’aime ça. Après chaque morceau, Roxanne remercie le public avec un petit sourire en coin. Influences, disais je, on n’échappe pas non plus à celle des Pixies non sans oublier par exemple les Primitives et leur pop insouciante. Départ en fanfare donc avec Right Side, le groupe enchaine ensuite avec Stephen et son intro à la Pixies mais le groupe apporte en plus sa légèreté et ses voix aériennes. Veronica Falls c’est typiquement le genre de groupe que j’aime, certains de mes amis me feront remarquer qu’il y a des femmes et je leur répondrais ; oui c’est vrai ; car elles apportent à mon avis une touche de fraicheur, de charme et aussi de simplicité que j’apprécie beaucoup. Et puis j’aime les voix féminines ! C’est ensuite le superbe Beachy Head aux parfums garage et un peu gothique, j’adore tout simplement. Je parlais du côté insouciant que l’on ressent en les écoutant, cela me fait penser aussi aux Vaselines par moment. Pour l’instant, le groupe n’a sorti qu’un EP de 5 démos que l’on trouve uniquement à leur concert ce qui veut dire que ce soir de nombreux morceaux feront partie de leur album qui sortira en octobre. Et franchement, je m’en délecte d’avance. La guitare parait bien grosse entre les mains de Roxanne, mais elle en fait bel usage à l’instar de James Hoare qui pendant une grande partie du set sera de profil face à elle comme pour accentuer cet effet de dualité que l’on retrouve pendant tout le concert. Leur set est tout simplement une belle réussite qui n’aura malheureusement duré que 30 minutes, mais il est fort à parier que le groupe a trouvé ce soir de nouveaux fans.
Il est 20 h 30, c’est clair que ce soir on ne fera pas de vieux os au Nouveau Casino à moins que The Drums ne décide de faire un concert marathon !!!
Mais en vérité il est tout juste 21 h lorsque les lumières s’éteignent et que les membres du groupe arrivent un par un sur scène. J’avoue que je suis un peu largué, car pas mal de choses ont changé en quelques mois, exit le guitariste un peu fou qui évoluait sur la gauche et qui comblait les faiblesses musicales du groupe par sa présence scénique. On trouve maintenant sur la gauche de la scène un nouveau guitariste Myles Matheny ex Violens qui parfois prend la basse et un peu en retrait un clavier. C’est enfin Jonathan Pierce qui fait son apparition sous les applaudissements du public. Il affiche toujours une apparence assez ambigüe, mais surtout ce soir il semble, comment pourrait-on dire ? Il semble étrangement détendu et un peu à l’ouest. Alcool ? Ou alors autre chose ??? Peu importe le garçon, semble en forme. Je me rends tout de suite à l’évidence, le groupe a fortement évolué que ce soit au niveau musical bien sur, mais aussi techniquement parlant. Car avouons le c’était un des points faibles du groupe ce manque de rigueur musicale beaucoup trop importante même si au final ce que l’on attendait d’eux, c’était du fun. Et puis force est de constater que le son est très bon même si du premier rang la voix est un peu lointaine ce qui par moment et surtout au début me semble-t-il n’est pas plus mal, car Jonathan Pierce n’a pas toujours un chant dirons nous…parfait. Ce début de concert donc me surprend par son sérieux d’une part et par la qualité des compositions interprétées et cela à partir du second morceau (My Best Friend) dans une version largement supérieure à celle du studio. Inévitablement on pense aux Smiths pour les guitares et à Morrissey concernant l’attitude scénique de Jonathan qui ce soir ne sera pas avare de compliments envers Paris, sincère ou pas c’est toujours difficile de se prononcer. Ce qui est curieux c’est que même les morceaux du premier album sont pratiquement méconnaissables, moins minimalistes, plus soniques et surtout beaucoup plus crédibles en live. Second extrait du nouvel album PORTAMENTO avec If He Likes It Let Them Do It où la guitare prend le dessus avec un son me rappelant un peu The Mission. C’est assez rare au Nouveau Casino, mais ce soir la scène dans toute sa largeur est occupée par le matériel du groupe avec en arrière-plan un grand logo The Drums. Et puis de chaque côté de la batterie, deux panneaux lumineux avec pour l’un PORTA et sur l’autre MENTO, bon j’ai cherché pendant un bon bout de temps ce que cela voulait dire. Portemanteau ?? Ce n’est qu’au merchandising plus tard que j’ai enfin compris…
Le meilleur moment du concert, c’est peut-être avec Money, un nouveau morceau, que je l’ai vécu ce soir. La ligne de basse est omniprésente et hypnotique, tout gravite autour d’elle et on revient sans cesse sur ce rythme rapide et primaire, excellent tout simplement. Peu à peu on s’éloigne de la touche Smiths pour revenir dans leur jardin traditionnel c'est-à-dire un côté dance plus perceptible, nouveaux et anciens morceaux se complètent admirablement. Avec Days on retrouve la ligne de basse dont je parlais pour Money, est-ce un des apanages du nouvel album ? Et toujours aussi ce côté un peu Vampire Week End que l’on retrouve aussi assez souvent. Book Of Revelation voila un morceau qui m’a surpris, j’ai cru entendre les Strokes que ce soit dans les guitares ou pour la voix un peu nasillarde à la manière d’un Julian Casablanca, pas désagréable. Avec Down By The Water c’est encore une autre facette des Drums, un retour vers les fifties avec une guitare ou la réverb est reine puis pour finir How It Ended (cela tombe bien c’est le dernier morceau) du The Drums traditionnel avec toutefois un final sonique assez impressionnant.
C’est bien cela ce côté puissant et sans concession qui donne aux Drums une nouvelle dimension, le traitement infligé à chacune de leur chanson est impressionnant en live et puis il y a les musiciens, je ne me rappelle pas avoir vu le guitariste en face de moi aussi efficace lors de leurs précédentes tournées. Je m’en doutais un peu vu ce qu’Éric m’avait dit, ils ne vont pas jouer Let’s Go Surfing. Difficile de comprendre pourquoi même si l’on se doute qu’ils l’ont joué et rejoué. Mais pour un groupe ayant si peu d’années d’existence mettre déjà au rencard leur morceau phare cela parait bizarre. En tout cas le public parisien ne leur en veut pas du tout, on n’entendra d’ailleurs pas de plaintes dans le public. Le concert se terminera avec deux anciens morceaux dans une ambiance festive et la promesse de revenir en novembre à Paris (les places sont d’ailleurs déjà en vente).
Que dire sinon que j’ai plutôt été agréablement surpris par la nouvelle orientation du groupe en live, bien sûr on regrette un petit peu les facéties d’Adam Kessler l’ancien guitariste qui apportait une touche plus colorée à l’ensemble. L’avenir dira si le groupe a gagné son pari et surtout a réussi à garder son public voire l’accroitre ou au contraire échouer dans leur nouvelle tentative de séduction. J’arrive avec un peu de mal à avoir une des rares set lists puis je file à la mezzanine pour aller jeter un coup d’œil sur le merchandising. Avec un ami on entame une courte, mais sympa discussion avec le batteur de Veronica Falls manifestement content de l’accueil que Paris a réservé au groupe. Il nous confie qu’ils devraient être de retour au mois de novembre cette fois au Point FMR, prions pour que je n’aie pas encore pris de places pour une autre soirée !! J’achète un tee-shirt du groupe et je me laisse ensuite tenter par le dernier cd des Drums. Il est à peine 22 h 20 lorsque je quitte le Nouveau Casino, pour vous je ne sais pas, mais parfois, moi, je me dis que la vie est belle !!! »
Veronica Falls est un groupe de pop rock anglais dont les membres sont issus des deux groupes Sexy Kids et Royal We. Leur musique pop prend des accents sixties et s’influence du shoegaze de la fin des années 80. Leur pop, un peu vaporeuse et alimentée de sonorités gothiques, se situe dans la même lignée que celle de The Pains of Being Pure at Heart…
The Drums est un groupe américain de Brooklyn, NY, crée en 2008 et composé de membres provenant du groupe éphemère Elkland (précédemment Goat Explosion).
Albums
2010 - The Drums
2011 - Portamento
EP
2009 – Summertime!
2010 - The Drums
2011 - Portamento
EP
2009 – Summertime!
Roxanne Clifford - Vocal & Guitar
James Hoare - Guitar
Marion Herbain - Bass
Patrick Doyle - Drums
James Hoare - Guitar
Marion Herbain - Bass
Patrick Doyle - Drums
THE DRUMS
Jonathan Pierce - Vocals/keyboards
Jacob Graham - Guitar/bass guitar/keyboards
Connor Hanwick - Keyboards
Jonathan Pierce - Vocals/keyboards
Jacob Graham - Guitar/bass guitar/keyboards
Connor Hanwick - Keyboards
Myles Matheny (ex-Violens) - Guitar
Chris Stein - Drums
La Setlist du Concert
THE DRUMS
What You Were (Portamento - 2011)
Best Friend (Single - The Drums - 2010)
Me And The Moon (Single - The Drums - 2010)
If He Likes It Let Him Do It (Portamento - 2011)
Book Of Stories (The Drums - 2010)
Money (Single - Portamento - 2011)
I Need Fun In My Life (The Drums - 2010)
I Need A Doctor (Portamento - 2011)
Forever And Ever Amen (Single - The Drums - 2010)
Days (Portamento - 2011)
Book Of Revelation (Portamento - 2011)
Down By The Water (The Drums - 2010)
How It Ended (Portamento - 2011)
Encore
It Will All End In Tears (The Drums - 2010)
The Future (The Drums - 2010)
Best Friend (Single - The Drums - 2010)
Me And The Moon (Single - The Drums - 2010)
If He Likes It Let Him Do It (Portamento - 2011)
Book Of Stories (The Drums - 2010)
Money (Single - Portamento - 2011)
I Need Fun In My Life (The Drums - 2010)
I Need A Doctor (Portamento - 2011)
Forever And Ever Amen (Single - The Drums - 2010)
Days (Portamento - 2011)
Book Of Revelation (Portamento - 2011)
Down By The Water (The Drums - 2010)
How It Ended (Portamento - 2011)
Encore
It Will All End In Tears (The Drums - 2010)
The Future (The Drums - 2010)
---